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A suivre sur CINEMA & PROSPECTIVE de FuturHebdo : Des articles et des chroniques audiovisuelles qui montrent comment les films de Science-Fiction ne sont pas que du divertissement et peuvent nous donner des indices sur ce sue pourraient être demain. En prenant le temps d’une relecture attentive, ces films se révèlent être riches en enseignements, par l’exemple ou le contre exemple… même par l’absurde ! Bonne promenade…
Ces chroniques, développées pour le magazine ECKO, traite d’un sujet du quotidien avec le regarde de la Prospective : Déplacer dans un avenir plus ou moins proche et hypothétique pour le regarder, aujourd’hui, avec de nouveaux yeux et agir en conséquence.
Olivier est un des invités du numéro 8 du magazine Ecko*. consulter en ligne sur le site du magazine (www.ecko-mag.com), à lire en version papier pour les chanceux de Bourgogne et à compulser ou à télécharger en version pdf ici : https://issuu.com/ecko-magazine/docs/ecko_magazine_n_8.Voir page 74.
L’Occident entretient une relation complexe, voire conflictuelle, avec le robot autonome, alors même qu’il ne fait pas encore partie de son quotidien.
On annonce le robot destructeur d’emploi, on l’érige en cheval de Troie qui introduirait l’IA au cœur le plus intime de nos foyers ! Les promoteurs des robots tentent déjà bien de lui redorer un blason bien terni en l’annonçant collaboratif… mais rien n’y fait, l’Occident est suspicieux à l’égard des robots ! Dans le même temps, Les japonais et le monde asiatique en général ne semblent pas percevoir les craintes occidentales. Dans le Japon shintoïste, il n’y a pas de distinction entre le vivant et l’inanimé, toute chose étant égale dans la distribution du kami, notion de la présence des forces vitales présentes dans la nature. Ainsi, culturellement, l’inanimé animé a toujours été très bien accepté au Japon : dès le XVIIe siècle, les karakuri, des automates très perfectionnés, étaient à la mode… Ceci explique en partie comment l’Occident pourrait bien être en train de perdre la guerre commerciale de la robotique…
Un critère robotique, objet de fascination en Asie, attise encore plus la suspicion en Europe. C’est l’anthropomorphisme, l’apparence humaine que peut revêtir un robot. Étrange réaction d’autant que cette robotique anthropomorphe est loin d’être la seule option : dans les habitats de demain, on pourrait très bien imaginer une robotique intégrée, invisible des occupants mais qui assurerait le fonctionnement optimum d’un domicile devenu intelligent, au delà des habituels systèmes de gestion de l’éclairage, climatisation et autres sonorisation. Cette robotique intégrée assurerait la gestion des stocks de la cuisine et la confection de repas équilibré pour toute la famille, elle leur procurerait un domicile sain et bien rangé (système de lingerie…), elle garantirait un accès sécurisé à la porte du foyer ainsi que la surveillance de l’ensemble du domicile…
*ECKO Magazine présente les traditions des beaux savoir-faire en Bourgogne du Sud tout en mettant un accent sur les innovations de notre temps. Ce support presse est tourné vers le digital 2.0 avec une application de reconnaissance d’image qui permet aux lecteurs d’accéder à une lecture enrichie des articles. Cela est très simple d’utilisation, en photographiant une image, une page, un article avec l’application DOOBLINK, les lecteurs obtiendront des informations supplémentaires, sous forme de vidéo, visite virtuelle, e-shop, music, lien URL, doc PDF etc…
Dans le cadre du deuxième congrès annuel de Space’ibles, l’Observatoire de Prospective Spatiale, initiative du CNES, le Comptoir Prospecriviste présente l’analyse du film de Niel Blomkamp, Elysium.
Olivier est un des invités du numéro 7 du magazine Ecko*. A consulter en ligne sur le site du magazine (www.ecko-mag.com), à lire en version papier pour les chanceux de Bourgogne et à compulser ou à télécharger en version pdf ici : https://issuu.com/ecko-magazine/docs/ecko7_issuu/60
Les intelligences artificielles sont partout et le seront d’avantage demain, parole d’analystes. D’ici 2025, les marchés liés aux IA se compteront en dizaines de milliards d’euros, sachant que les IA d’aujourd’hui ne sont rien en comparaison des promesses prêtées aux futures générations d’IA ! Alors que le monde n’est témoin que du début du déploiement des IA dans le quotidien de l’humanité, il n’est pas inutile de faire un point sur la compréhension que l’on peut avoir de ce qui est tout à la fois une science fondamentale, une technologie qui ne cesse de se réinventer et un marché en perpétuelle évolution. Ainsi, les IA peuvent être classées en trois catégories. Il y a les intelligences artificielles étroites, ou mono tâche — on pourrait même parler de systèmes experts — comme Deepmind qui a battu les meilleurs joueurs au monde du jeu de Go ou Watson qui aident les médecins dans leur diagnostiques en plongeant dans l’ensemble des publications médicales en quête d’informations pertinentes et inaccessibles à un humain tant le nombre de données est grand. Une autre IA, Ross, fait de même en droit, pour les avocats, en plongeant dans les lois, les décrets et autres jurisprudences en quête de sens. Il y a ensuite les IA générales qui, un jour, seront capables de gérer la complexité qui est le quotidien d’un humain sachant que celui-ci accomplit une bonne partie de ces tâches de manière plus ou moins consciente (marche, lecture, discussion, cuisine…). En dernier lieu, il se pourrait qu’un jour émergent les super IA qui, par leurs capacités, pourraient dépasser l’ensemble de l’humanité.
DES IA PARTOUT MAIS PAS TOUJOURS VISIBLES
Indépendamment de leurs catégories, les IA seront dédiées à une interaction avec un ou plusieurs humains, localisées dans un objet, comme les assistants numériques dans les smartphones contemporains ou dans les robots de demain qui assisteront les pompiers ou les personnes âgées ou dépendantes, qui éduqueront les petits d’homme, en oubliant pas que ces machines seront nécessairement connectées aux réseaux et aux autres IA. Ou bien, les IA seront déployées dans les réseaux, invisibles des humains mais à l’œuvre en permanence comme le sont les IA qui présentent les réponses les plus pertinentes aux utilisateurs d’un moteur de recherche, comme celles qui gèrent au mieux les stocks d’une entreprise de distribution, comme le seront, demain, les IA qui géreront le trafic automobiles, tout d’abord au travers des feux tricolores puis en relation avec les IA des futurs véhicules autonomes. De ces trois catégories d’intelligences artificielles, aujourd’hui, seule la première est effective. On peut s’adresser à son smartphone, il comprend tant bien que mal les ordres qui lui sont donnés, il écrit plus ou moins bien ce qu’on lui dicte… mais, versions après versions, les progrès sont constants. L’industrie – services et production – est également gourmandes des IA déployées. Concernant les deux autres types d’IA, elles demeurent, à ce jour, hors de la portée de l’humanité, aussi bien pour des raisons de matériel et de puissance que pour des considérations conceptuelles et de programmation. Mais les recherches avancent à grand pas, que l’on parle des réseaux neuronaux artificiels qui imitent le comportement du cerveau biologique, et qui permettent le deep learning ou machine learning, l’apprentissage autonome de l’IA, ou que l’on considère les ordinateurs quantiques qui à terme pourraient mettre à disposition des IA des puissances inaccessibles avec les technologies actuelles. En effet, et ce malgré l’ingéniosité des fabricants de microprocesseurs et d’ordinateurs, en matière informatique, l’humanité se heurte à un plafond de verre technologique, et la célèbre loi de Moore, qui a longtemps prévu le doublement du nombre de transistors dans les microprocesseurs tous les 18 mois (loi simplifiée pour finalement annoncer le doublement des puissances dans le même intervalle de temps), cette loi, dans les faits, est en passe de ne plus être vérifiée.
ECKO Magazine présente les traditions des beaux savoir-faire en Bourgogne du Sud tout en mettant un accent sur les innovations de notre temps. Ce support presse est tourné vers le digital 2.0 avec une application de reconnaissance d’image qui permet aux lecteurs d’accéder à une lecture enrichie des articles. Cela est très simple d’utilisation, en photographiant une image, une page, un article avec l’application DOOBLINK, les lecteurs obtiendront des informations supplémentaires, sous forme de vidéo, visite virtuelle, e-shop, music, lien URL, doc PDF etc…
Olivier est un des invités du numéro 6 du magazine Ecko*. A consulter en ligne sur le site du magazine (www.ecko-mag.com), à lire en version papier pour les chanceux de Bourgogne et à compulser ou à télécharger en version pdf ici : https://issuu.com/ecko-magazine/docs/6eckomag_issuu
« Dis-moi ce que tu consommes, je te dirai quel avenir tu te prépares », paroles de prospectiviste…
ECKO Magazine présente les traditions des beaux savoir-faire en Bourgogne du Sud tout en mettant un accent sur les innovations de notre temps. Ce support presse est tourné vers le digital 2.0 avec une application de reconnaissance d’image qui permet aux lecteurs d’accéder à une lecture enrichie des articles. Cela est très simple d’utilisation, en photographiant une image, une page, un article avec l’application DOOBLINK, les lecteurs obtiendront des informations supplémentaires, sous forme de vidéo, visite virtuelle, e-shop, music, lien URL, doc PDF etc .. « Dis-moi ce que tu consommes, je te dirai quel avenir tu te prépares » pourrait tout aussi bien dire le prospectiviste…
Le catalogue des moyens de transport de demain raconte une histoire des sciences à venir, de l’accessible jusqu’à l’improbable. Petit rappel : se déplacer implique toujours une dépense d’énergie. Les enjeux de la modernité face aux défis climatiques nous le rappellent tous les jours : l’accès à l’énergie au moyen des carburants fossiles a grandement participé aux dérèglements climatiques qui sont désormais une réalité.
Mais envisager une mobilité verte ne résout pas pour autant le problème de la production de cette énergie. Parcs d’éoliennes, usines marée motrices, fermes de panneaux solaires, géothermie, fusion nucléaire… le mixe énergétique reste à être construit, à être consolidé… avec, dans les véhicules, une révolution technologique qui n’en est encore qu’à ses balbutiements, celle des batteries, des accumulateurs. Car, demain, le consommateur pourrait bien demander à disposer d’un accès à l’énergie avec la même facilité que celle qu’offrent les énergies fossiles : un plein vite fait avec un accès “explosif” dans un volume restreint et avec un poids le plus petit possible…
*ECKO Magazine présente les traditions des beaux savoir-faire en Bourgogne du Sud tout en mettant un accent sur les innovations de notre temps. Ce support presse est tourné vers le digital 2.0 avec une application de reconnaissance d’image qui permet aux lecteurs d’accéder à une lecture enrichie des articles. Cela est très simple d’utilisation, en photographiant une image, une page, un article avec l’application DOOBLINK, les lecteurs obtiendront des informations supplémentaires, sous forme de vidéo, visite virtuelle, e-shop, music, lien URL, doc PDF etc ..
Ready Player One, le nouveau film de Steven Spielberg, oscille entre dystopie, le pire de notre avenir, et anticipation, un avenir raisonnablement probable si l’on considère le monde présent comme une succession de paramètres qui construisent notre avenir. L’action de Ready Player One se déroule en 2045. Or, malheureusement, dans cet avenir, l’humanité ne semble pas avoir réussi à relever les défis de notre présent : enjeux climatiques, réduction de la pauvreté, société de surconsommation, production durable d’énergie … Enfin, un défi semble bien avoir été résolu : celui de la question des futurs rapports entre l’humanité et l’IA (les multiples avatars qu’elle pourrait prendre) au risque d’une aliénation de l’humanité… Dans Ready Player One, point de Singularité (émergence d’une intelligence artificielle consciente et autonome… quoiqu’à bien y réfléchir…), pas plus de robots, juste l’OASIS : un monde persistant qui s’est développé dans le cyber-espace, une société virtuelle dans laquelle tout le monde se rend pour échapper à la violence du quotidien… pour y être celle ou celui qu’on ne sera jamais dans nos vie réelles. un “Second Life” puissance 10 !
Plongé dans le monde virtuel de l’OASIS, le spectateur peut s’amuser à repérer les références à la pop culture des 50 dernière années, références égrenées tout au long du film. C’est la DeLorean de Retour vers le futur, c’est la moto du manga Akira (adapté au cinéma en 1991), ce sont les mentions d’une foultitudes de jeux qui ont marqué l’histoire du jeu vidéo… on plonge dans les couloirs de l’hôtel du film Shinning… même le souffle du dragon de Merlin, dans le film Excalibur de John Boorman, y trouve sa place : Hannal nathrar, ourwassbethud, doriel diembhe ! La pop culture ne serait-elle pas le terreau de la société de demain ?
Par ailleurs, si on ne s’étonne plus de voir, dans les rues de notre présent, une majorité de personnes utiliser en permanence leur smartphone, on s’étonnera pas plus de voir, dans les rues du 2045 de Ready Player One, la plupart des passants avec un masque de réalité virtuelle devant les yeux… Ce constat posant la question de l’articulation du monde virtuel, l’Oasis, avec le monde réel. Alors, le monde réel qui est le nôtre est-il condamné à l’infection virale du virtuel ? A la fin du film, les héros proposent d’imposer deux jours par semaine durant lesquels l’OASIS sera débranchée, comme pour inciter les humains à une nouvelle forme de repos dominical, pour redécouvrir une communion humaine, corporelle et tangible. Ces deux jours seront-ils suffisants pour lutter contre l’effet inexorable de manque, d’addiction que l’immersion dans le virtuel pourrait créer ? Le suite surFuturHebdo>>>
Olivier est un des invités du dernier numéro du magazine Ecko*. A consulter en ligne sur le site du magazine (www.ecko-mag.com), à lire en version papier pour les chanceux de Bourgogne et à compulser ou à télécharger en version pdf ici : http://bit.ly/2G5mj1Z
« Dis-moi ce que tu consommes, je te dirai quel avenir tu te prépares », paroles de prospectiviste…
ECKO Magazine présente les traditions des beaux savoir-faire en Bourgogne du Sud tout en mettant un accent sur les innovations de notre temps. Ce support presse est tourné vers le digital 2.0 avec une application de reconnaissance d’image qui permet aux lecteurs d’accéder à une lecture enrichie des articles. Cela est très simple d’utilisation, en photographiant une image, une page, un article avec l’application DOOBLINK, les lecteurs obtiendront des informations supplémentaires, sous forme de vidéo, visite virtuelle, e-shop, music, lien URL, doc PDF etc .. « Dis-moi ce que tu consommes, je te dirai quel avenir tu te prépares » pourrait tout aussi bien dire le prospectiviste…
Longtemps annoncés, souvent reportés, les masques de réalité virtuelle (VR) ou augmentée sont la prochaine révolution dans les interfaces d’utilisation des médias. Ces dispositifs arrivent néanmoins à une forme de maturité fonctionnelle… et pourraient bien se révéler aussi révolutionnaires que le fût la souris informatique, à partir de 1968.
Ces masques participent à la quête de l’expérience “média” absolue qui a pour but l’immersion totale du spectateur/joueur dans le média. Le cinéma avance dans ce sens avec les projections 3D. Mais de L’Etrange Créature du lac noir (1954) à aujourd’hui, même avec des succès planétaires tels que Avatar (2009), jamais le public n’a définitivement adhéré à la 3D. Désormais, le cinéma pari sur la 4D. Au menu : mouvements, effets de lumière, d’eau, odeurs… Parmi les autres expériences auxquelles le cinéma s’est essayé, il y a ces films dans lesquels les prises de vue placent le spectateur dans la tête d’un personnage. Comme dans les jeux FPS (First Personnal Shooter) : le spectateur voit ce que voit le héro…
La suite : http://www.futurhebdo.fr/ce-nous-la-realite-virtuelle-la-prochaine-revolution-des-medias-nous-dit-sur-demain/