CONTENUS DÉDIÉS

CES JEUNES QUI CONSTRUISENT DEMAIN

Mise à jour du 25/05/17 :
> 2017 : Rifath Shaarook, 18 ans, fabrique le plus petit satellite du monde pour la NASA

> 2016 : Boyan Slat, 21 ans, veut nettoyer les océans et s’en donne les moyens
> 2016 : Kiara Nirghin, 16 ans, met au point un super aborsbant végétal pour contre la sécheresse

> 2014 : Sahil Doshi, 14 ans, invente une batterie qui fonctionne avec du CO2

> 2013 : Eesha Khare, 18 ans, invente un “supercapacitor” qui recharge les batteries en quelques secondes
> 2013 : Ann Makosinski, 15 ans, allume une lampe avec la chaleur du corps

> 2012 : Jack Andraka, 15 ans, développe une méthode de détection du cancer du pancréas

> 2010 (?) : Jai Kumar, 10 ans, invente un puificateur d’air à bas coût

Une compil. qui date un peu : ICI
Un article de 2015 sur des plus très jeunes inventeurs français : ICI
Quelques illustres prédécesseurs : ICI

Que sont-ils devenus ?
Leurs inventions sont-elles des innovations de ruptures ?
Leurs inventions ont-elles passé le capte de l’industrialisation et  de la commercialisation ?

Si vous connaissez d’autres de ces exemples, merci de laisser un commentaire !

CHRONIQUE | CE QUE “LIFE – ORIGINE INCONNUE” NOUS DIT DE DEMAIN

Une co-production Huffington Post – C’est Demain et
Les autres chroniques de FuturHebdo pour le Huffington Post :

Ghost in the shell                            Morgane                             Hardcore Henry
  

Divergente 3                              Star Wars 7                             Seul sur Mars
  

INTERVIEW | HISTOIRES DE LA PRISE DE TÊTE

Dimanche 23 avril, diffusion, sur Espace 2 de la RTS, d’un documentaire de David Christoffel, réalisé par Patrick Lenoir : Histoires de la prise de tête. Une production du LABO (David Collin).

Christian et Olivier ont prêté leurs voix à ce documentaire, avec Carlos Parada (auteur de Toucher le cerveau, changer l’esprit aux PUF), Jocelyn Vinchon (gamer),  Anne-Christine Taylor (chercheuse CNRS en anthropologie), Nicolas Horvath (pianiste), Elisabeth Chamontin (collectionneuse d’images de décervelage).

Le lien vers le podcast !

DANS THE CONVERSATION : COMPRENDRE L’EFFET DE SERRE ET SES CONSEQUENCES

Version longue de cet article, “director’s cut” ICI >>>

Baignées dans la lumière solaire, l’atmosphère ainsi que la surface de notre planète – océans et terres émergées – conservent naturellement une partie de cette énergie sous forme de chaleur. L’atmosphère terrestre, indépendamment des activités humaines, provoque « l’effet de serre ».

Sans ce phénomène atmosphérique indispensable à la vie, la température à la surface de notre Terre serait, en moyenne, de -16 °C. Alors que, grâce à l’effet de serre, elle est plutôt de +15 °C en moyenne. Dans ces conditions, l’eau liquide circule librement et la vie foisonne.

La part humaine des changements climatiques

Depuis plus d’un siècle et demi cependant, tous les relevés laissent apparaître une augmentation de cette température moyenne. Cette hausse est une conséquence de l’intensification de l’effet de serre dans l’atmosphère de notre planète : comme le plafond de verre dans une vraie serre, les gaz à effet de serre, dont la concentration ne cesse d’augmenter, piège une quantité toujours plus grande de l’énergie qui aurait dû retourner vers l’espace… Ici bas, on a de plus en plus chaud !
Nul besoin d’être grand vizir pour constater que le début de l’accélération de l’augmentation de cette concentration de gaz coïncide avec le début de l’ère industrielle (seconde moitié du XIXesiècle). Or, la plupart de ces gaz ont la fâcheuse tendance d’empêcher la diffusion vers l’espace d’une partie de l’énergie que reçoit notre planète en provenance du soleil. Cette part d’énergie restée captive étant proportionnelle à la concentration de ces gaz constatée dans l’atmosphère.
Pour quantifier cet effet de serre, on mesure la différence entre l’énergie reçue et celle réémise par la Terre : c’est ce qu’on appelle le bilan radiatif – radiatif, car la chaleur est envisagée comme une radiation. Quand l’équilibre est rompu entre énergie reçue et énergie rendue, on parle de « forçage radiatif », le forçage exprimant un déséquilibre.

PUBLICATION | FUTURHEBDO DANS SILEX ID #07 : EN KIOSQUE !

 Silex ID #07

On a longtemps parlé de “fracture numérique”. Elle marquait l’inégalité d’accès aux nouveaux outils numériques des populations au sein d’un même territoire. Aujourd’hui, dans notre monde dématérialisé, apparaître une nouvelle inquiétude. Elle concerne l’expérience effective du monde réel que chacun est censé avoir. Car, parmi les jeunes générations, la proportion d’individus qui ne connaissent le monde que par expérience virtuelle ne cesse de croître. Pour évoquer la rupture avec le monde tangible dans laquelle certains vivent, on parle désormais de “fracture analogique”.

Le lien avec la “fracture numérique” est évident. Mais, si celle-ci tenait, à l’époque, du soucis politique, la “fracture analogique” d’aujourd’hui est d’ordre éthique, et peut-être même sanitaire.

Rétrospectivement, on peut identifier quelques moments clés qui ont construit le constat contemporain de rupture d’une partie grandissante de la population avec le monde réel. Plus que la généralisation de l’usage des outils numériques, il y a eu par exemple la décision de rendre l’enseignement de l’écriture manuelle optionnelle. Les USA, avec les pays scandinaves, ont été les premiers à adopter ce genre de dispositions. Elles se sont étendues à tout le monde développé, dans les années 20…

La suite : sur FuturHebdo>>>
Les magazines : sur Silex ID>>>

PUBLICATION | HUFFINGTON POST : SF, CULTURE CONTEMPORAINE ET CULTURE DIGITALE

The Conversation

SF, culture contemporaine et culture digitale…

A lire sur le Huffington Post : SF, culture contemporaine et culture digitale>>>
Et si les médias de divertissement participaient à la construction de l’identité de notre société contemporaine… et si, plus particulièrement, les thèmes de la science-fiction nourrissaient les mutations et les utopies modernes !
Le 16 mai 2016, sur France Culture, Stéphane Deligeorges, le présentateur de « Continent Science », proposait une variation sur ces thèmes au cours d’une émission dont le titre était « la science au cinéma : prétexte didactique ou simple élément du décor ? ». Les invités, tous trois physiciens, étaient Jacques Treneir, Jean-Michel Courty et Édouard Kierlik. Ils ont discuté de la place que pouvait prendre la science dans les processus de fabrication d’une fiction… Au risque d’erreurs scientifiques… Au bonheur de fasciner, d’emporter le spectateur vers de nouveaux horizons…
Absent, Roland Lehoucq, astrophysicien, aurait tenu toute sa place à cette table. En effet, ce dernier a fait de l’utilisation de la science-fiction son biais pédagogique privilégié. Il s’est aussi fait connaître auprès du grand public grâce à de petits ouvrages tels que « Faire des sciences avec Star Wars », ouvrages issus de son expérience de professeur en université.

CHRONIQUE | FUTURHEBDO DANS THE CONVERSATION FRANCE : « MORGANE » DE LUKE SCOTT, UNE ANALYSE PROSPECTIVISTE

A lire sur : The Conversation France : “Morgane” de Luke Scott, une analyse prospectiviste

Evolution de la chronique proposé sur le Huffington Post mais avec la vidéo, en fin de post…

Le film Morgane de Luke Scott présente l’intérêt de poser le problème de l’intelligence artificielle sous un nouveau jour, au moyen d’un nouveau biais…
Ces dernières années, Hollywood nous a habitués à traiter de la question de l’intelligence artificielle sur support informatique avec des films tels que Chappie, de Neill Blomkamp, ou bien encore Ex Machina, de Alex Garland, tous deux sortis en 2015. De son côté, le filmMorgane propose une réflexion similaire en faisant intervenir une entité biologique de synthèse.
Pour bien comprendre ce qu’est le protagoniste clé du film Morgane, il n’est pas inutile de rappeler qui est le réalisateur : Luke Scott est le fils de Ridley Scott, le célèbre réalisateur qui en 1982 a conçu et réalisé le film Blade Runner. Ce film est une adaptation d’un roman de Philip K. Dick, Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?

La suite sur : The Conversation France : “Morgane” de Luke Scott, une analyse prospectiviste


Bande annonce du film «Morgane» >>>



Ce que le film «Morgane» a à nous dire sur demain>>>