Les métiers du numérique sont en pleine évolution. Les formations à ces métiers doivent faire preuve d’agilité autant que d’anticipation. Dans cette étude, il s’agissait de donner une forme à la « Trajectoire de transformation des établissements de formation aux métiers du numérique d’ici 2030 ».
Merci de la confiance que les talents du numériqueont accordé au Comptoir ! Cela a été l’occasion de très belles rencontres, avec des formateurs des générations à venir, passionnées et conscientes des enjeux de société qui découlent de toutes ces interrogations !
Le Comptoir Prospectiviste a le plaisir de vous inviter au grand Webinaire de Lancement de l’Académie en ligne de Yasser Monkachi, notre partenaire au Maroc avec Socialimpulse.net. Cette initiative, à la quelle participe Christian Gatard, est le fruit de longues années de R&D en Marketing, communication et transformation digitale. Inscrivez-vous pour y assister (places limitées)
Pour rendre compte de la richesse de l’année 2021 (malgré les contraintes sanitaires), Christian Gatard et Olivier Parent sont heureux de vous mettre à disposition le rapport d’activité pour le Comptoir Prospectiviste.
Pour celles et ceux qui nous connaissent, ces activités prises dans le détail regroupent celles de quatre entités (par ordre croissant d’âge) : • les Mondes Anticipés, festival nomade de prospective et d’anticipation, • le Comptoir Prospectiviste, études prospectives et sociologie du futur, • FutureHebdo, le magazine de notre futur immédiat, et • Christian Gatard & Co, études internationales qualitatives et créatives.
Une nouvelle fois, le Comptoir a apporté ses moyens techniques au Laboratoire des littératies des futurs de l’Unseco à l’occasion de l’intervention de Riel Miller à la Conférence internationale sur le design des futures, à l’université de Tsinghua, Chine.
Pour la troisième année, Olivier Parent a donné ses conférences aux étudiants duMaster ASIE de CY Cergy Paris Université (15 heures de cours).
Ces heures réparties en deux journées ont été rythmées entre des matinées consacrées aux conférences théoriques et après-midi d’exercices (backcasting, analyses de films de SF, forecatsing et procès prospectiviste…).
Les politiques publiques à l’épreuve de la science-fiction ou comment la science-fiction est-elle source d’inspiration pour la construction des politiques publiques ? Constitue-t-elle un levier d’action ?
le 4 novembre, Olivier Parent a donné une conférence pour éclairer cette question : La science-fiction, une fois déshabillée de tout artifice magique, devient probable. C’est ce qu’on appelle l’anticipation. Cette projection dans un futur accessible permet d’observer la présent, de mieux comprendre les enjeux d’aujourd’hui, pour décider de l’avenir, celui-ci étant en perpétuel devenir. C’est ce qu’on appelle la politique.
Cette conférence, en partenariat avec la Cinémathèque et le réseau des Bibliothèques de Grenoble, a été suivie d’une projection de films qui illustrent les propos de la conférence.
La nouvelle mouture de FuturHebdo (version papier) vient de paraître. Ce numéro est publié à l’occasion du lancement des Mondes Anticipés, festival nomade de prospective et d’anticipation. Le premier épisode de la saison une des Mondes anticipés s’est déroulée à la Cité des sciences et de l’industrie, à Paris.
Ce numéro 5 de FuturHebdo, catalogue du festival, accompagnera les Mondes Anticipés tout au long de cette saison une « Faut-il sauver le vaisseau Terre ? » lors des étapes à Marseille, Lille, Grenoble, Papeete, Pau, Strasbourg, Toulouse… et dans bien d’autres villes encore.
Cette première saison se terminera fin 2022, à la double occasion de la remise des Prix des Mondes Anticipés(dont le public est juré), catégories roman, bande dessinée, manga et jeux vidéo (et, peut-être deux ou trois autres catégories : court-métrage, nouvelles, jeux de rôle).
Les contributeurs de ce numéro spécial sont : Luc Dellisse, Bénédicte Coudière, Lola Barbier (Zoo le mag.), Marine Lannot (Zoo le mag.), Hugues Robert (librairie Charybde), Louis Carton, Ludivine Gilli, Jacques Arnould, Thomas Michaud, Lorenzo Soccavo, Christian Gatard, Patrick Delcourt et Olivier Parent.
EDITO : Ce numéro 5 du magazine FuturHebdo est un numéro spécial : il est édité à l’occasion du lancement des Mondes Anticipés, le festival nomade de prospective et d’anticipation organisé par le Comptoir Prospectiviste.
Mieux que cela : les Mondes Anticipés sont les enfants de la crise sanitaire que nous traversons ! En effet, ce festival a été imaginé, au cours de l’été 2020, comme une réaction nécessaire à la « crise existentielle » issue du premier confinement… et, peut-être, comme un antidote aux confinements qui, depuis, ont eu la fichue tendance à s’enchaîner. Les Mondes Anticipés sont donc une manifestation de la résilience des associés du Comptoir. Ils sont surtout un appel adressé à chacun d’entre nous à développer un esprit d’anticipation au service de la construction d’avenirs durables, pour le présent, soit, mais surtout pour les générations à venir !
Mais, nous ne sommes pas dupes de ces belles intentions. Le réel possède sa propre inertie qui va à l’encontre du changement : le durable devra s’adapter… Il faut aussi tenir compte du fait que tout ou partie de l’utopie des uns peut être perçu comme une dystopie par d’autres. De plus, un constat s’impose : nous, individus, avons perdu notre capacité à l’anticipation, immergés que nous sommes dans cette société de consommation qui est devenue notre quotidien, sans qu’on y prête trop garde. Avec la dématérialisation qui n’a de cesse de s’accélérer, tout s’organise pour satisfaire nos besoins dans les délais les plus courts possibles, en effaçant la contrainte et la frustration, en nous faisant oublier que chacun de nos actes engendrent des effets, ici ou ailleurs, maintenant et dans le futur.
Action, réaction. Causes, conséquences. Ce sont des principes de la physique. Ce sont aussi des principes de la prospective. Ce sont surtout des principes qui n’auraient jamais dû quitter notre quotidien, que l’on soit particulier ou représentant d’une organisation privée, publique ou associative… Ne l’oublions jamais : nos choix et nos actes quotidiens sont les briques sur lesquelles se construit demain.
Alors, bienvenue dans ce nouveau numéro de FuturHebdo. Il vous accompagnera avant, pendant — et nous le souhaitons — après votre visite aux Mondes Anticipés, le festival nomade de prospective et d’anticipation.
Après six mois d’études, de veille documentaire, d’entretiens, d’ateliers de prospective design, de focus groups dans toute la France, de rédaction… le Comptoir Prospctiviste a remis à Terrena son rapport d’étude sur l’avenir de l’agriculture, en général, et de la marque La nouvelle agriculture, en particulier.
Merci de la confiance que Terrena et l’équipe de La nouvelle agriculture ont accordé au Comptoir ! Une très belle mission qui nous amené à aller à la rencontre de personnes conscientes des actes qu’elles posent et passionnées par leur métiers, leurs animaux et leurs territoires.
A l’occasion de cette manifestation d’échelle nationale, à Dijon, les 23 et 24 septembre 2021, le Comptoir Prospectiviste a accompagné l’ANAP au plan événementiel. L’enjeu a été de concevoir une scénographie qui accompagne les temps forts de ce rassemblement des professionnels de la santé qui viennent échanger et construire l’avenir de leurs professions.
C’est en distanciel que les membres de Space’ibles ont fait les restitutions de leurs travaux d’études…
Avec Jacques Arnould, expert éthique du CNES, le Comptoir a piloté l’atelier « Enjeux éthique de l’espace ». En plus de Jacques et les associés du Comptoir, l’atelier comptait une vingtaine de membres : Thérèse Awada, chirurgien, Diane Beaulieu, médecin aéronautique, louis Carton, étudiant, Christian Clot, Adaptation, Philippe Coué, Dassault Aviation, Anne Drapeau, Arianegroup, Emmanuel Dufrasnes, ENSAS – RST ARCHES, Céline Duparcq, CNES, Ludivine Gilli, IRSN, Valère Girardin, ESA, Jean-Pierre Goux, One Planet, Alban Guyomarch ENS, Rémi Richard, AGRIAL.
L’atelier s’est attaché à présenter les enthousiasmes aussi bien que les interrogations ou les peurs liées aux activités spatiales humaines, dans un contexte en voie de dérégulation et même de vive concurrences. Les acteurs, privés aussi bien qu’étatiques se multiplient au point que le public perde une vision claire de la direction, de la finalité de ces activités. Le « message » est d’autant plus brouillé que la France et l’Europe manque de hérauts aussi audibles (pour ne pas dire tonitruant) qu’un Elon Musk. Si bien que ce sont ces messages que le public retient. Ce sont ces mêmes messages qui créent le doute sur le juste finalité des activités spatiales.
Rapport d’étude « Enjeux éthiques de l’espace » bientôt disponible ici.
